Lord James "Apis" Haligan

Grand Conseiller de la reine Aralia, Protecteur du royaume d'Irmidon

Fiche

Nom : Lord James "Apis" Haligan
Niveau : 3
XP :

Attribut Niveau
Force 2
Dextérité 2
Sang Froid 3
Intelligence 4
Trait Niveau
Richissime Lord Anglais 1
Analyse des sociétés 1
Expert entomologiste 1
Techniques d'essaim 1
Pouvoir Niveau
Arts Noirs 1
Abeilles espionnes polymorphes 1
Esprit de la Ruche 1

Fortune et équipement

Relations

Personnel

Contacts

-

Alliés

Background

Description

Lord James Haligan est un lord anglais (enfin si c'est compatible avec la campagne) âgé d'une quarantaine d'année bien avancée. Sa chevelure poivre et sel laisse entrevoir les premiers signes de l'âge à l'instar des quelques rides naissantes sur son visage. Son corps n'a jamais été celui d'un athlète mais c'est aujourd'hui encore moins vrai, maintenant que le temps a passé. L'usage de sa canne a tout d'abord été une distinction esthétique amenant un style d'une distinction pouvant ouvrir les portes avant même que son nom soit prononcé. Aujourd'hui elle reflète autant son besoin d'aisance dans ses déplacements que son style.

Enfance

Tout petit, "Jimmy" était un parfois un calvaire pour ses parents fort occupés, alors qu'il s'amusait à tester et à contourner la discipline de ses parents par autant de subterfuges qu'en fleurissaient dans son imagination débordante. Tous les enfant essayent de trouver les failles entre les deux parents et d'utiliser l'un contre l'autre, notamment dans la recherche d'une autorisation, mais chez James cela était devenu une occupation quotidienne. Et les domestiques n'étaient pas exempts de ses frasques de persuasion. Le défi en lui même était plus important que ce qui était obtenu et finalement il n'a pas fait la plupart des bêtises qu'il aurait pu si là avait été son but. Cependant son éducation ne fut pas négligée, car connaître les rouages des choses lui permettait de jouer à faire tourner les gens bourrique de manière bien plus efficace (rhooo le sale môme).

Influence et Arts Noirs

En grandissant sa voie s'est précisée et il étudia attentivement les rouages du pouvoir. Fréquentant assidûment les cercles de la haute société, il suivit avec entrain la mode des arts divinatoires et surtout des arts noirs. Faire tourner les tables étaient surtout un divertissement pour les gens de haute naissance, afin de braver un interdit et prendre quelques risques. Une montée d'adrénaline sans grande conséquence. Mais les arts noirs avaient été par le passé un moteur pour les gens désirant le pouvoir et en cela contenait déjà du pouvoir sur leur vie. Depuis il continua d'étudier les tomes les plus obscurs à ses heures perdues avec grand intérêt. Mais le sujet d'étude central resta l'influence, la capacité d'obtenir un pouvoir sur les autres. Il affina ses techniques et stratégies. Tout d'abord par argumentaire, par signes plus subtils, par subterfuge en provoquant des fausses situations dont les autres en sortaient redevables voir même par une aura qui fascinait et une détermination que nul n'osait contredire.

Société

Mais sa découverte majeure fut de prendre un peu de hauteur. Comprendre et influencer une personne au niveau de cette personne ne rimait à rien, c'était parfois facile mais toujours vain. L'homme n'avait par lui même pas d'importance. Il s'intéressa alors non plus à l'homme mais à l'humanité. En dépit de ses incivilités et de sa nature profondément égoïste, l'homme était une créature indéniablement sociale. Sa vie elle même dépendait d'un certain nombre de ses pairs. Ses désirs et ses espoirs étaient calqués sur les possessions de gens plus riches que lui, de personnes plus influentes, plus belles, mieux entourées voir parfois vivant sous un autre climat. Au final, les éléments moteurs qui déterminaient les actions et les pensées d'un homme étaient quasi systématiquement dépendantes d'un autre homme. La première conclusion qu'il s'empressa d'étudier était fort simple. Il suffisait de devenir cet homme dont autrui dépendait pour exercer un pouvoir sur lui. Par cet effort, il devint encore davantage convaincant.

Mais étudier directement la société humaine était un travail complexe. Rien n'était jamais simple. La société codifiée exerçait un masque opaque sur les véritables relations entre les hommes. Ce jeu d'apparences rendaient vain un travail qui aurait nécessité d'analyser les véritables pensées, sentiments et émotions de chaque individu. Sans compter l'étendue des relations entre les hommes qui n'étaient pas en vase clos mais étendues sur toute la planète. La solution vint d'elle même. A bien y réfléchir il existait des sociétés similaires en vase clos, sans jeux d'apparences et beaucoup plus clairement structurées. Les fourmilières et les ruches étaient de bons exemples parmi d'autres pour étudier les bases du comportement social. Il se mit à acquérir quelques fourmilières et ruches et après quelques essais, son dévolu se jeta sur les abeilles. Et cette étude le conduisit bien plus loin qu'il ne le pensait.

Ruche

Il étudia quelques années durant les comportement de la ruche à différent niveaux, sans interférence extérieure, prenant un soin démesuré et méticuleux de chacune des abeilles. Une grande partie de sa vie fut alors rythmée par la ruche. Les naissances furent ses joies, les morts furent ses peines. Il développa alors une empathie envers elle qui dépassa les considérations standard. Si ses expériences au début étaient surtout de créer des situations ou d'introduire un élément dans ce milieu en vase clos, il finit par orienter le comportement de la ruche entière par son simple vouloir.

Aralia et la Ruche

Amusé et intrigué, il décida alors d'opérer un système inverse. La vie de la ruche infléchissait sa vie comme il infléchissait la leur. Il entreprit alors de ne plus simplement entrer la vie des abeilles dans sa vie mais de faire entrer également sa vie dans celle des abeilles. Reprenant de plus belle son études des arts noirs et de la botanique, il fit travailler ces deux sciences de concert. Les jeunes abeilles qui pouvaient prétendre à devenir reine arrivaient à ce stade de princesse en étant nourrie exclusivement de gelée royale et non plus simplement de miel. La gelée royale était le véritable Ambroisie des abeilles. Munis donc de ces deux sciences, il entreprit de changer miel et surtout gelée royale. Incantation après incantation, il enchanta et changea la nourriture des abeilles. Avec son lien empathique cette étape fut naturellement accepté. Génération après génération, il peaufina ses enchantements qui donnèrent diverses sortes d'abeilles assez étranges. Le summum de sa réussite ne tarda pas à arriver. Au prix de ces longues années de recherches, ses incantations et ses formules de gelées royales donnèrent un spectaculaire résultat. Il donna naissance à Aralia, une reine d'une taille jamais vue encore mais surtout douée de pensée et capable de communiquer avec lui. Pris d'affection pour cette étrange créature, il délaissa même un temps ses affaires, déléguant ses responsabilités pour élever Aralia. Il commença à faire construire LA Ruche. Une immense salle blindée et sur-protégée au sous sol de son manoir. Pourvue en réserves de pollen, en laboratoire à miel, en chambre pour lui même, en portes dérobées renforcées, en issues de secours (genre rails souterrains qui arrivent à un pan de paroi à faire sauter par dynamite) et une structure métallique alvéolée qui reproduisait une ruche géante (recouverte de cire d'abeille depuis), il commença à vivre dans la ruche à l'instar des abeilles. Pouvant communiquer avec la jeune reine, il resta vivre avec elle afin de l'élever. Ses enfants, issue d'elle et du miel enchanté, furent presque aussi particuliers qu'elle. Des abeilles grandes comme un chat et aptes à penser et à communiquer avec James. Mais il réalisa qu'il négligeait le monde extérieur et à partir de là, il partagea du mieux qu'il put sa vie entre les deux mondes. Peu à peu, enchantements après enchantements, Aralia développa des particularités étonnantes et ses fils à sa suite. Capables de vibrations pouvant émuler tous les sons dans un sens ou dans l'autre et surtout capable de transcrire l'essence même de la signification de ces sons, elle réussit à parler directement avec lui. L'émerveillement de James était intarissable. Dans le même effort de mimétisme, elle changea d'apparence pour ressembler à James mais dans un aspect plus féminin, utilisant ce qu'elle captait des pensées de James pour se donner une apparence agréable et se rapprocher encore un peu plus de lui. Ses enfants firent alors de même. Ils prirent d'abord l'apparence de leur reine mais celle ci eut une émotion de colère, son identité forte et nouvelle pour une abeille se sentit bafouée et jamais plus une abeille ne choisit cette forme. A la place, ils prirent James comme modèle car ce "père" était émerveillé par leurs progrès et ne pensait même pas qu'il puisse y avoir un effet outrageant. Petit à petit, les abeilles montrèrent d'autres capacités qui évoluaient au fil des jours.

Esprit de la Ruche

Mais un jour, un malheur arriva. Un cambrioleur prodigieux s'infiltra dans le manoir afin de le soulager d'une partie de ses objets de valeur. Contrairement aux domestiques qui savaient qu'il y avait une ruche regorgeant d'abeilles dans laquelle il ne fallait pas pénétrer, le cambrioleur finit par trouver l'entrée cachée et blindée de la Ruche. Un endroit dissimulé et sur-protégé dans un manoir d'une des plus grandes fortunes? Le cambrioleur en conclut, quelque part à juste titre, que c'était là le trésor des Haligan. Travaillant d'arrache pied, il parvint à pénétrer dans la Ruche. Les abeilles, n'ayant jamais vu d'autre homme que James ne s'affolèrent pas. Pensant que ces "monstruosités" étaient une mesure de protection, le cambrioleur se fraya un chemin jusque à la salle de la reine. Aralia sentant que quelque chose clochait appela à l'aide. Prompt à réagir, le cambrioleur parvint à tuer Aralia alors que les abeilles et James arrivaient à peine. Dans un sentiment de colère et de douleur générale, les abeilles laissèrent parler les arts noirs dont elles étaient issus et foncèrent sur le cambrioleur dont il ne resta à vrai dire pas grand chose. Mais toute la Ruche était en deuil. Aralia était morte et tous (James compris) se sentaient désorientés. La tentation de se laisser dépérir était forte mais James, voyant que les autres abeilles empruntaient le même chemin que lui finit par s'occuper à nouveau de la vie dans la Ruche et fabriqua de la gelée royale pour la future reine. C'est là qu'il eut une surprise de taille. La nouvelle reine était... Aralia. C'était davantage qu'une abeille, davantage qu'une reine, elle était l'esprit de la Ruche. Elle était la Ruche en elle même et tous les individus qu'elle comportait. Pleurant de joie, il eut à nouveau une brève période où il ne quitta plus la reine abeille de peur qu'il lui arrive quelque chose. Ses enfants eurent le même réflexe, parcourant la Ruche avec frénésie, ils se tinrent près en permanence à protéger leur reine, réduisant à néant toute créature franchissant le seuil de la Ruche.

Ambition

Durant cette période, James discuta beaucoup avec Aralia. Il discuta d'un sujet qui n'avait jamais été abordé mais qui à l'évidence ne pouvait plus être mis de côté. Ils discutèrent du monde extérieur, ce monde d'où était issu ce régicide. Soucieux de ne pas alimenter une crainte démesurée, il lui parla au moins autant des merveilles que des dangers que ce monde recelait. Aralia en arriva à une conclusion similaire à celle de James. Pour ne pas devoir craindre ce monde et pour y trouver sa place, il fallait pouvoir exercer un certain contrôle sur son environnement. L'univers d'Aralia venait de grandir démesurément, son ambition à long terme également. La Ruche (+Manoir et alentours) fut nommée royaume d'Irmidon et d'autres noms furent trouvés pour les autres possessions de James, considérés par Aralia comme bases d'opération secondaires.

Protection

La seconde conséquence de cet événement fut simple. Pour que ses enfants reprennent calmement le cours de leur vie, il fallait renforcer la sécurité de la ruche. Un chantier de pièges et d'alarmes silencieuses furent placés, jamais plus un tel événement ne devait se reproduire. Une unité d'abeilles fut entraînée uniquement pour protéger la reine, laissant les autres vaquer à leurs occupations plus calmement. En parallèle, quelques gardes furent engagés pour protéger la propriété.

Immortel

La troisième conséquence fut d'importance capitale pour James. En effet, discutant avec Aralia, elle lui fit part de ses inquiétudes. Il prenait de l'âge. Sur son corps commençait à apparaître les stigmates qui venaient en prélude à la décrépitude. Beaucoup de gens auraient été angoissés et se seraient fait une raison d'un fait qui est somme toute inéluctable. C'est peut être ce qu'aurait fait James s'il ne s'agissait que de lui même. Mais l'inquiétude d'Aralia le poussa à penser plus attentivement au problème. Aralia étaient virtuellement immortelle, l'esprit de la ruche réapparaissant à chaque génération. Mais supporterait elle de le perdre. Et surtout, il était nécessaire à la ruche et il était probable qu'en l'état actuel des choses, une nouvelle génération ne verrait pas le jour (ou cruellement atrophiée) s'il n'était pas là pour l'enchanter et la nourrir. Il se rendit compte que ce n'était pas uniquement sa vie qui était en jeu mais toute la ruche, l'oeuvre de sa vie. Pensant et discutant avec Aralia, il se rendit compte d'une chose: il prenait le problème à l'envers. Le problème n'était pas de se rendre immortel pour assurer la survie d'une ruche mortelle. Tous ceux qui se sont lancés dans la quête de l'immortalité tentaient désespérément de stopper le temps. Mais les individus sont mortels, tous autant qu'ils sont. Cependant, une chose avait resurgit clairement de toutes ses études sur les sociétés. Même si les individus meurent, les sociétés, elles, sont virtuellement immortelles. Les individus changent, les naissances remplacent les morts dans un cycle en perpétuelle évolution mais les sociétés restent, se développent, prospèrent, se multiplient. Un cataclysme peut parfois les réduire à néant, mais accident mis à part, les sociétés sont immortelles. La Ruche en elle même était une société, en cela elle était également immortelle. Ce fut Aralia qui lui apporta la solution. Une pensée simple, une pensée inhumaine, une pensée d'abeille: "L'individu est mortel, la Ruche immortelle. Tu dois devenir la Ruche. Les abeilles naissent et remplacent celles qui meurent, tes cellules font de même. Mais elles sont laissées à elles même décrépissant lentement. Tu es un organe vital de la Ruche et la Ruche entretient toutes ses structures. Nos enfants vont entretenir ton corps.". Tant de gens cherchent l'immortalité, peut être courent ils trop aveuglément après pour que ce soit une abeille qui en fournisse la solution. Les abeilles, la gelée royale et les arts noirs. Tous ouvrèrent dans ce but et le résultat fut celui escompté, les ravages du temps complètement stoppés, laissant un corps qui se renouvelait en permanence.

Héritage

Ses parents lui ont laissé bien plus qu'un nom et une fortune, ils lui laissèrent des relations que sa passion de l'influence le fit accroître et un goût d'entreprendre qui lui permit d'investir à bon escient sa fortune afin de la faire fructifier également. Beaucoup de sociétés dans des domaines très différents lui appartiennent dans des endroits très différents eux aussi. Cela dit, il a un faible pour sa fabrique de miel qui lui rappelle sa vie. De plus, il fait bénéficier cette entreprises de ses connaissances sur le miel et la gelée royales. Et inversement leurs découvertes lui sont rapportées pour ses travaux à lui.

Le Réseau Floral

Afin de conserver une maîtrise de ce qui se déroule dans le royaume d'Irmidon et aux alentour, James et la Ruche ont constitué le Réseau Floral. Ce travail de longue haleine a permis de changer chaque plante de la ville en mini-récepteurs passifs. Chacune ne récupère que très peu d'informations mais c'est le cumul de l'ensemble d'entre elles qui fournit des informations intéressantes (la donnée est ultra spécifique et ne sert à rien seule, seule la position quadrillée et le temps sont des données récurrentes. Pour te donner un exemple, cheval, brun, galop, selle et blessures, sont 5 données différentes venant de plusieurs fleurs différentes.). Le seul moyen de récupérer ces informations est de les butiner. Des insectes plus classiques s'en chargent et propagent les informations de proche en proche. A partir d'une fleur donc, la donnée va être broadcastée et se répandre à partir du point de récolte, et cela pour toutes les fleurs. La donnée récoltée se trouve alors sous une forme chimique sous un encodage correspondant au goût des abeilles (une forme de clé publique). Les informations sont récoltées par les abeilles de la Ruche en des points lambda aléatoire du réseau. A partir de là, il est possible de décoder le message à partir d'ouvrières spécialisées qui décodent les informations gustatives en lieu/temps/donnée (sorte de clé privée). Le listing étant alors immense, il faut soit cibler un point particulier, soit transmettre par temps à d'autres ouvrières spécialisée en tant que plans de fabrication de cartes de cire qui sont autant d'état de la ville à un instant T. Pour en tirer quelques chose, il faut mettre au point des filtres pour mettre en valeur des détails importants ou cibler sur un lieu et un temps précis et regarder tous les détails.

Projets

L'avenir de la Ruche était sauvé. En théorie, elle pouvait ainsi perdurer ainsi éternellement. Mais au fond de lui, James gardait une trace d'angoisse. Il aurait aimé que même sans lui, la Ruche puisse prospérer. Il ne perdit toutefois pas espoir et continue encore aujourd'hui à travailler pour perfectionner ses formules afin de trouver comment rendre la Ruche complètement autonome. Dans le même temps, Aralia lui soumis un autre désir. Elle était reine d'Irmidon, soit. Mais ce n'était pas suffisant. Cependant la société de la Ruche était telle qu'elle ne pouvait pas étendre son domaine bien au delà des frontières du manoir. Elle voudrait que certaines de ses filles puissent fonder des ruches dans les bases d'opérations. Formant réseau comparable à un empire dont elles seraient duchesses et Aralia l'impératrice.

Activités

La vie de James est en ce moment rythmée par cinq activités différentes.

Haute Société

James Haligan est un personnage mondain qui fréquente les réunions de la haute société en participant à son faste tout autant que ses pairs. Et ceci indifféremment si ces personnes doivent leur position par leur naissance ou par arrivisme. Cela lui permet d’entretenir ses contacts tout autant que de récolter des informations. Mais cela participe également à deux effets qui ne sont pas visibles de prime abord. Tout d’abord, participer à un événement mondain durant une opération alors qu’il envoie ses abeilles fournit une couverture à sa face publique. Ensuite, par le faste qu’il exhibe à l’instar de ses pairs, il pousse à pense qu’il mène un train de vie similaire tout le temps. Cela est faux et lui permet de sortir de l’argent du système sans éveiller l’attention. Orienté cellule de résistance

Irmidon

James n’est pas seulement un lord anglais, il fait aussi partie de la noblesse d’Irmidon. Proche d’Aralia et père de la Ruche, une partie non négligeable de son temps est utilisé pour s’occuper de la Ruche. Enchanter le miel et la gelée royale, aider à la nurserie, discuter et penser avec Aralia ou chercher les pistes d’amélioration de la Ruche sont autant d’activités dans lesquelles il se plonge.

Recherches

James s’occupe également à faire des recherches dans le laboratoire de la Ruche. Utilisant la philosophie de la Ruche, les Arts Noirs, la botanique et toutes les pistes dont il dispose, il travaille à la pérennité de la ruche (autonomie, stabilisation du cycle de vie) et au rêve d’Aralia (Ruches architecturées en cellules dirigées par les duchesses de son empire, sélectionnées parmi ses filles). orienté cellules de résistance

Implication Super

A définir. Remplace cellule de résistance

Gestion patrimoniale

James a délégué la conduite de ses très nombreuses sociétés qui lui assure ses formidables rentrées d’argent à différentes personnes et conseils. Cependant, il contrôle régulièrement la manière dont se comportent ses affaires dans un roulement permanent, une société après l’autre.